Dyscalculie : les mathématiques sont (ou ne sont pas) une opinion ?

Dyscalculie : les mathématiques sont (ou ne sont pas) une opinion ?
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Marcello Delmondo
La Rédaction
Psychothérapeute spécialisé en thérapie psychanalytique
Unobravo
Article révisé par notre rédaction clinique
publié le
31.1.2025
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Les comptes ne concordent pas ! Les budgets de la maison, les manœuvres financières et même les jeux de cartes, sans oublier les redoutables devoirs à la maison. Les mathématiques semblent être partout, voire nous menacer.

La relation des élèves français avec cette matière est un peu épineuse, comme le révèle le test TIMSS, réalisé tous les quatre ans en quatrième.

Mais si s'y retrouver dans les parenthèses, les signes, les puissances et les fonctions peut être une tâche décourageante pour tout le monde, cela devient un vrai défi pour les personnes souffrant du trouble spécifique de l'apprentissage connu sous le nom de dyscalculie.

Qu’est-ce que la dyscalculie ?

La dyscalculie est incluse dans la section du DSM-5 (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) dédiée aux troubles neurodéveloppementaux, dans le paragraphe sur les troubles spécifiques de l'apprentissage.

Mais qu'est-ce que la dyscalculie et quels sont les symptômes ?

Dans la littérature (Shalev et Gross-Tsur, 2001 ; Kucian et von Aster, 2015 ; Soares et Patel, 2015), la dyscalculie développementale est définie comme un trouble spécifique de l'apprentissage qui affecte l'acquisition normale des compétences mathématiques.

En ce qui concerne les symptômes de la dyscalculie, parmis les caractéristiques et les compétences affectées chez les personnes atteintes de dyscalculie, on trouve des difficultés à comprendre des concepts et des symboles mathématiques, à réaliser des opérations arithmétiques basiques et à organiser correctement les calculs spatiaux, ainsi que des problèmes pour apprendre les tables de multiplication (Lucangeli et Tressoldi, 2001).

Dans l'étiologie, comme pour tous les troubles spécifiques de l'apprentissage, outre les aspects environnementaux liés à une scolarisation déficiente ou inexistante, on trouve des bases neurologiques (Von Aster et Shalev, 2007). 

En 1974, le psychologue Kosc a donné la définition suivante de la dyscalculie :

« La dyscalculie est un trouble spécifique de l'apprentissage des nombres, probablement dû à un trouble du système nerveux central, qui ne s'accompagne pas de difficultés mentales générales, mais qui est souvent associé à d'autres troubles de la fonction symbolique, tels que la dyslexie et la dysgraphie. »
qu'est-ce que la dyscalculie ?
Pixabay

Différence entre acalculie et dyscalculie

Il peut être utile de faire la distinction entre l’acalculie et la dyscalculie, car il n'est pas toujours facile de naviguer dans le complexe monde de la neurodivergence.

Un travail pionnier du neurologue Henschen (1925) décrit l'acalculie comme un déficit des capacités de calcul résultant d'une lésion cérébrale. Cette définition a également été reprise par Loring (1999) et indique la nature acquise du trouble. 

En revanche, la dyscalculie est un trouble lié au neurodéveloppement. Il existe donc des causes et des manifestations cliniques différentes qui affectent presque complètement la capacité de calculer mentalement et d'écrire dans le cas de l'acalculie (Lewandowski et Stadelmann, 1908). Cette dernière peut également se présenter en comorbidité avec l'aphasie et l'agraphie.

Dysgraphie, dysorthographie, dyslexie et dyscalculie : une famille, plusieurs formes de se manifester

En quoi la dyscalculie diffère-t-elle des autres troubles spécifiques de l'apprentissage ?

Les personnes atteintes de dyscalculie ont des difficultés à effectuer des calculs mathématiques. Cette difficulté ne concerne pas la capacité à raisonner arithmétiquement, mais la capacité à reconnaître et à écrire le signe ou à placer les nombres correctement (Simonetta, 2005).

En revanche, les autres troubles spécifiques de l'apprentissage se manifestent généralement par les symptômes suivants :

  • Dyslexie : le trouble de la lecture qui, comme le rappelle le DSM-5 (APA, 2013), se manifeste par des problèmes de reconnaissance des mots, de décodage et d'orthographe. Il peut être développemental, s'il est lié à un développement anormal, acquis, s'il est causé par une lésion cérébrale, ou spécifique, lorsqu'il n'altère pas d'autres capacités cognitives mais affecte les performances scolaires. Il est souvent associé à des retards du développement du langage et à des problèmes émotionnels (Galimberti, 2018, p.48).
  • Dysgraphie : des problèmes psychomoteurs dans la production du geste graphique, la pression et la coordination du signe et la capacité à contrôler la taille des lettres (Simonetta, 2005).
  • Dysorthographie : les compétences lexicales expressives restent intactes, mais la capacité à traduire les sons en signes graphiques correspondants est déficiente (Simonetta, 2005). Voici quelques exemples d'aspects qui peuvent rendre l'apprentissage difficile pour les personnes atteintes de dysorthographie : les doutes et les fautes d’orthographe, l’écriture phonologique et l’ajout ou l’oubli de lettres.

Comment savoir si l’on est dyscalculique ?

Il s’agit d'une incompatibilité avec la matière ou d'un trouble spécifique de l'apprentissage ? Comment se rendre compte que l'on souffre de dyscalculie ?

Tout d'abord, il est nécessaire de vérifier la présence des critères diagnostiques de la dyscalculie tels qu'ils sont énoncés dans le DSM-5, à savoir :

  • des problèmes de l’apprentissage,
  • des capacités scolaires inférieures aux attentes,
  • l’apparition de déficits en âge scolaire,
  • l’absence de déficiences intellectuelles.

Selon le DSM-5, le terme dyscalculie est utilisé pour décrire un trouble caractérisé par des difficultés à traiter des données numériques, à apprendre des formules et à effectuer des calculs avec précision et fluidité.

L'utilisation de ce terme doit s'accompagner de la spécification d'éventuels problèmes supplémentaires en ce qui concerne le raisonnement arithmétique et la précision du raisonnement.

diagnostic de la dysalculie
Max Fischer - Pexels

Diagnostic de la dyscalculie

En ce qui concerne l'évaluation de la dyscalculie, il convient de préciser que l'évaluation et le diagnostic de la dyscalculie doivent être effectués par des professionnels spécialisés tels que des neuropsychiatres, des psychologues ou des orthophonistes, que ce soit dans le système de santé public ou dans un cabinet privé.

Cela nécessite un diagnostic clinique (Benedicto-López et Rodríguez-Cuadrado, 2019) basé sur :

  • la collecte de données dans les dossiers médicaux de l'élève, l'examen des bulletins scolaires et la prise de contact avec le service d’orientation de l'école,
  • la réalisation, en parallèle, d’un bilan neuropsychologique avec des tests standardisés pour établir les difficultés, évaluer les fonctions cognitives altérées et préservées, détecter la présence d'éventuels déficits associés et établir un diagnostic différentiel,
  • la réalisation également de tests de QI, d'alphabétisation et de processus psychologiques de base.

Parmi les tests utilisés dans le diagnostic de la dyscalculie en France, on peut citer l’échelle WISC-IV (Echelle d’Intelligence de Wechsler pour enfants et adolescents).

Toutes les données recueillies lors de l'évaluation et du diagnostic sont évaluées afin d'établir le traitement éducatif le plus approprié pour la dyscalculie.

En ce qui concerne la dyscalculie chez l’adulte, le diagnostic et la prise en charge du trouble sont peu développés et les procédures d'évaluation sont souvent basées sur l'adaptation de tests calibrés pour des âges plus jeunes (Ghidoni et al., 2013).

Dyscalculie et TDAH

La comorbidité entre la dyscalculie et le trouble déficit de l’attention et l’hyperactivité (TDAH) et entre la dyscalculie et la dyslexie (Benedicto-Lòpez et Rodriguez-Cuadrado, 2019) a été largement étudiée dans la littérature.

Dans une étude publiée sur la revue scientifique Developmental Medicine & Child Neurology (Gross-Tsur et al. 1996) sur un échantillon de 140 enfants diagnostiqués de dyscalculie, on a observé que 26 % d’entre eux présentaient aussi des symptômes de TDAH.

Artem Podrez - Pexels

Autisme et dyscalculie

La tendance dans la littérature est de considérer avec réserve la comorbidité possible entre l'autisme et les troubles spécifiques de l'apprentissage. En fait, on a tendance à croire que les troubles du spectre de l’autisme sont prééminents et qu'une distinction peut être faite d'un point de vue fonctionnel des troubles spécifiques de l'apprentissage, mais pas d'un point de vue causal en ce qui concerne les déficits caractéristiques du spectre de l’autisme (D’Ales et al., 2021).

En outre, il est important de considérer le spectre de l’autisme comme un ciel étoilé ou une galaxie. Chaque étoile a sa propre façon de briller et de scintiller. De même, dans les troubles du spectre de l’autisme, nous avons une grande variété de niveaux de fonctionnement sur le plan linguistique, communicatif, moteur et affectif-relationnel.

Par conséquent, il ne faut pas supposer que la neurodivergence correspond à une surdouance spécifique dans certains domaines cognitifs, comme c'est le cas du syndrome Savant (une situation clinique dans laquelle, dans un tableau de déficience intellectuelle, certaines capacités très développées dans des domaines spécifiques ressortent (Hill, 1978)).

Il est certainement nécessaire d'entamer une réflexion profonde qui va au-delà des étiquettes et, de ce point de vue, le concept de neurodiversité interroge sur le fait de savoir s'il s'agit de maladies à médicaliser et à soigner ou de différences à reconnaître et à valoriser dans les contextes sociaux (Caniglia, 2018).

Dyscalculie : causes possibles

Les troubles spécifiques de l’apprentissage peuvent avoir diverses causes :

  • des facteurs génétiques, y compris les composantes héréditaires,
  • des facteurs épigénétiques, c'est-à-dire liés à l'expression des gènes en fonction de l'âge et de l'exposition à certains facteurs environnementaux,
  • des anomalies neuroanatomiques,
  • des processus cognitifs dysfonctionnels.

Le DSM-5 met l'accent sur l'origine biologique des troubles spécifiques de l'apprentissage, avec l'interaction de facteurs génétiques, environnementaux et épigénétiques. Il montre en outre qu'il est possible de modifier l'évolution de la dyscalculie grâce à une thérapie appropriée, comprenant une éducation et un traitement continu.

Les processus cognitifs sous-jacents de la dyscalculie semblent impliquer des déficits liés à la mémoire. C'est peut-être ce qui conduit à une surcharge et à une dépense conséquente des ressources cognitives, entraînant des erreurs de récupération ou de stockage.

En revanche, d’autres hypothèses sont liées à des problèmes visuo-spatiaux (Lucangeli et Tressoldi, 2001).

D'un point de vue psychologique, il peut être intéressant d'analyser la relation avec l'anxiété. Il est évident que l'activation de l'anxiété et les inquiétudes peuvent affecter négativement la performance, y compris dans le domaine des mathématiques.

Cependant, en présence de dyscalculie, la déficience des capacités mathématiques est indépendante de l'ampleur de l'anxiété éventuelle de la situation. Au contraire, l'anxiété peut être accrue par des problèmes liés à l'apprentissage, ce qui conduit à des résultats insuffisants et, par conséquent, à des inquiétudes et à des craintes concernant les évaluations et les jugements.

Les enfants atteints de problèmes de dyscalculie peuvent manifester des niveaux d’anxiété plus élevés et une plus faible estime de soi par rapport aux groupes de contrôle (Rappo et al., 2014). 

Existe-t-il des différences entre les garçons et les filles ? Les études sur le sujet fournissent des données contradictoires. Les études les plus récentes (Fischbach, et al., 2013) semblent montrer une plus grande prévalence de la dyscalculie chez les femmes.

Alors que certaines études antérieures (Desoete et al., 2004) avaient abouti à la conclusion inverse. Néanmoins, ce que le pourcentage de femmes poursuivant des études universitaires dans les disciplines STIM montre, c’est que les stéréotypes de genre sont toujours présents dans les choix de carrière (dans les pays du G20, les femmes représentent que 35 % de l’ensemble des diplômés en disciplines STIM, d’après l’enquête internationale Gender Scan 2024).

Il convient également de noter que les différences peuvent être dues à des facteurs méthodologiques ou à des biais dans l'évaluation et le diagnostic, plutôt qu'à des différences réelles entre les genres.

Yan Krukau - Pexels

Est-ce que la dyscalculie est un handicap ?

D’après les données de la Haute Autorité de Santé, les « troubles dys » tels que la dyscalculie concernaient près de 8 % des enfants d’âge scolaire en France. Mais ce trouble est-il considéré comme un handicap ?

Depuis 2005, la dyscalculie, tout comme d’autres troubles dys, est prise en compte dans la législation française dans la loi nº 2005-102 du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. D’après l’Article L114 : « Constitue un handicap [...] toute limitation d'activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d'une altération substantielle, durable ou définitive d'une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d'un polyhandicap ou d'un trouble de santé invalidant. »

Dyscalculie : exercices et aide pédagogique

L'élaboration de cartes conceptuelles et de diagrammes et l'utilisation de calculatrices et d'ordinateurs sont particulièrement indiquées dans les interventions favorisant l'acquisition d'une méthode d'étude aussi autonome que possible pour les enfants et les jeunes atteints de dyscalculie.

Sur Internet, publiés dans des revues ou des volumes spéciaux, vous trouverez de nombreux exercices utiles pour entraîner la mémoire, l'attention, la concentration et les capacités visuo-spatiales ; des exercices de mémoire aux exercices de balayage visuel, en passant par des jeux mathématiques simples et des feuilles de travail qui encouragent l'organisation visuelle et spatiale des nombres et des calculs.

Il existe également des approches didactiques intéressantes basées sur des jeux d'évasion virtuels ou réels, c'est-à-dire des jeux d'énigme qui stimulent les capacités de raisonnement et de résolution de problèmes ainsi que le travail de groupe.

L'utilisation de jeux vidéo a également été consolidée dans l'intervention didactique pour la stimulation des compétences mathématiques des étudiants souffrant de dyscalculie (Torres-Carrión et al., 2018). Des applications pour smartphone et ordinateur ont également été développées, telles que disMAT (Ferraz et al., 2017). De plus, Math Fun est un autre exemple d'application qui soutient le processus d'apprentissage des élèves dyscalculiques (Rohizan et al., 2020).

traitement de la dyscalculie
Magda Ehlers - Pexels

Dyscalculie : traitement

Maladie, trouble, déficit ou neurodiversité ? Une question complexe qui correspond à une situation qui l'est souvent tout autant. La dyscalculie, comme tous les troubles spécifiques de l’apprentissage, peut affecter considérablement le processus de développement et le rapport avec l'école de la personne qui en est atteinte.

On expérimente une augmentation de l'anxiété, des soucis liés aux devoirs et aux examens, des confrontations avec les pairs et, dans certains cas, des malentendus avec les enseignants et les parents, qui peuvent confondre le trouble spécifique de l'apprentissage avec un manque de motivation.

Les troubles spécifiques de l'apprentissage constituent un obstacle qui épuise une grande quantité d'énergie cognitive. En conséquence, les jeunes peuvent éprouver des difficultés à se concentrer et à mémoriser, ce qui les conduit à développer des niveaux de frustration très élevés.

Est-ce qu’un parcours de soutien psychologique peut aider à l’affronter ? Dans ce type de cas, un processus thérapeutique peut être important pour :

  • Promouvoir l'estime de soi et les compétences sociales utiles à l'intégration dans le groupe de classe, réduire l'anxiété et développer des stratégies de coping et de résolution de problèmes.
  • Réaliser des entraînements spécifiques pour renforcer les compétences mathématiques.
  • Soutenir la famille et les enseignants afin qu’ils comprennent les besoins spécifiques de l'élève et soient capables d’élaborer des plans d'enseignement personnalisés qui assurent la continuité de l'approche aussi bien à la maison qu’à l’école.
  • Encourager le développement de ressources à niveau de l’individu, de la famille, de l’école et d’autres institutions telles que les services extrascolaires spécialisés, les ludothèques, les professionnels impliqués dans le traitement de la dyscalculie et les services du système national de santé.

La musicothérapie peut constituer une autre approche intéressante. En effet, la musique favorise l'acquisition de compétences telles que l'attention partagée et est utilisée dans les interventions auprès des personnes atteintes de troubles du spectre de l’autisme et de troubles spécifiques de l'apprentissage (Guzzoni, 2012).

Dyscalculie : le rôle de la famille et des parents

Pris entre les exigences de l'école, le processus pas toujours clair de diagnostic de la dyscalculie et la comparaison avec les performances des camarades de classe, les familles et les parents des élèves présentant des troubles spécifiques de l'apprentissage vivent souvent la sonnerie de l’école avec une appréhension particulière. C’est pourquoi, il est important de reconnaître leurs besoins et leur droit à être écoutés et pris en compte face aux difficultés qu'ils rencontrent.

Par conséquent, la première intervention pour aider une personne atteinte de dyscalculie peut commencer par une formation et une psychoéducation appropriées. C'est la seule façon de pouvoir activer les ressources dans le contexte familial et de réduire les conflits qui surviennent souvent en raison d'une incompréhension mutuelle avec l'école.

Il faut donc soutenir les familles, les informer correctement et les impliquer dans le processus de prise en charge prévu pour les élèves atteints de dyscalculie. Leur rôle est fondamental pour :

  • soutenir l’estime de soi et l’engagement des enfants malgré leurs difficultés d’apprentissage,
  • encourager les activités d'étude, de jeu et de socialisation qui favorisent les compétences déficientes en raison du trouble,
  • favoriser une attitude de coopération avec l’institution scolaire qui puisse se transformer en l’adoption de méthodes et d'outils similaires à ceux adoptés à l’école pour éviter de la confusion, ainsi que limiter la critique et la délégitimation de tout ce que font les enseignants.

Ce dernier point est particulièrement sensible, mais fondamental. Une attitude oppositionnelle suggère une méfiance à l'égard des enseignants et peut légitimer un comportement d'opposition contre-productif dans le processus d’apprentissage. Au contraire, il est essentiel de promouvoir le dialogue, la confrontation et la création d’un réseau avec les enseignants et les services de diagnostic, d’évaluation et de traitement de la dyscalculie.

Dyscalculie en France : quelles sont les ressources disponibles ?

En France, il existe plusieurs organisations et associations qui cherchent à sensibiliser les familles aux troubles spécifiques de l'apprentissage tels que la dyscalculie et la dyslexie, et à leur fournir des ressources et du soutien. Parmi les principales, on peut citer la Fédération Française des Dys (FFDys) et l’Association Dyslexie France.

Bibliographie
Ce contenu est fourni à des fins d'information uniquement et ne peut pas remplacer le diagnostic d'un professionnel. Article révisé par notre rédaction clinique

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